Éditoriaux récents

Canards Canins

Cahiers pour les gardiens
de chiens de Montréal

Les idées exprimées dans ces éditoriaux n'engagent en rien les associations canines résidantes.

Éditoriaux

Éditorial du 25 juin 2004

J'ai reçu aujourd'hui une note de l'Association des Propriétaires de Chiens de Saint-Hubert. Ils vont inaugurer très bientôt leur tout premier parc canin à Saint-Hubert, et ils ont une marche canine le 4 juillet. Voici la notice reçue:

Bonjour!

Venez marcher avec votre chien afin de souligner la création de l’Association des propriétaires de chiens de Saint-Hubert !

Marche canine - Dimanche le 4 juillet à 13h00 - départ et inscriptions: stationnement du Complexe Cousineau ( coin boul. Cousineau et Perras à Saint-Hubert)

PRÉ-INSCRIPTIONS SUR PLACE !

Soyez parmi les 50 premières personnes à vous procurer sur place votre carte de membre de l’APCSH et recevez un cadeau 1st Choice*. De plus, courez la chance de gagner de beaux prix de présence qui seront tirés parmi toutes les inscriptions reçues lors de cette journée.

Ne manquez pas l’ouverture officielle du 1er parc canin de Saint-Hubert!

Le parc canin de Saint-Hubert est situé au coin des rues Vauquelin et R-100 (secteur de la base militaire)

Venez célébrer avec nous ; Dimanche le 11 juillet à 13h00

prix de présence et surprises!

informations: par téléphone au 514-724-6247 ou par courriel

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Éditorial du 18 mai 2004

J'ai déjà mentionné il y a 4 mois le travail magnifique fait par Richard Beaulieu comme réalisateur technique des Cahiers Canards Canins. Ceux-ci sont maintenant d'une qualité professionnelle.

Canards Canins comprend vraiment trois grandes sections: les Cahiers proprement dits, les sites de plusieurs Associations de propriétaires de chiens en charge d'AEC, et une courte section contenant un certain nombre de produits et services canins. Ces trois grandes sections sont clairement indiquées sur la page d'entrée. La marge de gauche des pages permet toujours d'accéder aux sites des associations résidantes en plus d'accéder aux articles majeurs et aux renseignements canins que j'ai regroupés pour le lecteur dans les Cahiers.

J'ai rédigé tous les articles des Cahiers et groupé ensemble toutes les informations canines qui s'y trouvent. Le grand nombre d'articles et d'informations des Cahiers devient tout-à-fait évident lors de la lecture de la section Structure détaillée: celle-ci est définitivement fort longue! Aussi a-t-il était fort utile que le réalisateur technique installe un engin de recherche qui permet de trouver les articles qui contiennent tel ou tel mot ou bribe de phrase. Il en a installé un autre pour les différents articles des Associations résidantes et des produits et services canins.

Pour assurer la qualité et l'uniformité dans la présentation des textes (par exemple, le type de police choisi, la couleur), le réalisateur technique a produit des fichiers stylistiques qui contrôlent toutes les pages d'une section donnée. La marge de gauche, qui permet un accès direct à plusieurs des sections ou articles majeurs, semble être partie des pages elles-mêmes. Des compteurs de visites ont été placées sur certaines pages afin d'en déterminer et annoncer l'achalandage. Des afficheurs automatiques de la date de dernière révision annoncent celle-ci dans plusieurs sections. Un grand nombre des articles sont des Cahiers se trouvent dans des bases de données et presque toutes les listes y sont produites automatiquement à partir de ces bases de données.

L'Association des Promeneurs de chiens du parc de la Bruère, l'association résidante la plus importante de ces cahiers, a sa propre marge de gauche, avec un bouton placé sous une bannière mobile pour un accès direct à la liste des chiens qui fréquentent son enclos canin.

Parmi les choix de la marge de gauche de la page d'entrée de Canards Canins se trouve une section qui n'a rien à voir avec les chiens, mais ma famille et ancêtres. Le réalisateur technique a conçu cette section de telel sorte qu'elle ne comprend qu'une seule base de donnée, une page et une marge, dont les listes sont toutes deux produites automatiquement à partie de la base de données, avec leur propre fichier de style.

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Éditorial du 22 septembre 2003

Voici la lettre que j'ai reçue de la part d'Isabel Corbeil en réponse à mes deux éditoriaux et à la publication de sa lettre ainsi que ma réponse:

C'est avec plaisir que j'ai trouvé ma lettre publiée en éditorial et que j'ai pris connaissance de votre réponse qui a suivi quelques jours après. Merci d'avoir pris de votre temps, votre conclusion étant la même que la mienne. Les gens du Berger Blanc ne m'ont pas rappelés, peut-être ont-ils jugé bon de ne pas le faire, peut-être leur silence est-il inquiétant... Qu'en sais-je?

Voilà la raison pour laquelle je vous ré-écris ce soir: Est ce que je peux faire quelque chose contre le Berger blanc (porter plainte de quelle facon que ce soit à la police ou encore à différents organismes) pour leurs accusations? Ce que je veux dire par là, c'est que ça doit arriver tous les jours à d'honnêtes personnes qui les croient et qui paient ces horribles frais à cause de leur menaces... Moi je suis une personne de caractère, alors j'ai réagi... Mais s'ils utilisent ces techniques auprès de la population c'est parce que ça doit marcher... Moi ce que je veux, c'est des excuses de leur part et la certitude que mon ancien chien est retourné auprès de sa famille, ce que je doute sincèrement. Ces misérables gens devraient avoir des sanctions de toute façon.

Encore une fois, il y a ici plusieurs points. D'abord, toutes les menaces ayant été verbales, il s'agira donc d'une parole contre une autre. Les gens ont tendance à rapporter leurs dires d'une façon telle que ceux-ci sont moins tranchants lorsqu'il s'agit de les défendre...

Par contre, il n'y a rien qui empêche notre lectrice d'appeler et/ou d'écrire à sa municipalité et de déposer une plainte contre le Berger Blanc. Après tout, le Berger Blanc agit comme fourrière municipale; c'est donc à la municipalité en question de voir à ce que celle-ci agisse selon les normes fixées par la municipalité, ne serait-ce qu'en ce qui concerne la courtoisie. Je crois qu'il serait mieux de demander à celle-ci que sa fourrière garantisse qu'il n'est pas question d'entamer des procédures criminelles contre elle d'une part et qu'elle s'excuse pour son manque de courtoisie et ses menaces d'autre part.

De plus, la lectrice pourrait appeler le Berger Blanc afin de savoir ce qu'il est devenu de ce chien. Je doute fort que ceux-ci soient prêts à l'en informer. Elle poourrait alors communiquer avec la Société Protectrice des Animaux pour leur demander s'ils peuvent agir. (Évidemment en tant que Société Protectrice, non pas en tant que fourrière.)

Il ne faut pas oublier que le Berger Blanc a un contrat avec des municipalités pour agir en tant que fourrière municipale. Si suffisamment de citoyens s'objectent à leurs méthodes et sont prêts à s'objecter à ce que leur contrat soit renouvelé, le conseil municipal verra à en choisir un autre. Ce conseil, après tout, est élu par les citoyens.

Le Berger Blanc ainsi que la municipalité pourraient également être mis au courant de ces pages disponibles à qui voudra bien les lire sur l'Internet... Une publicité guère reluisante!

Remarquons bien que je publierais évidemment leurs dires, quitte à les critiquer au besoin!

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Éditorial du 17 septembre 2003

Je continue l'examen du cas soumis dans la lettre formant l'éditorial d'il y a deux jours. Dans cette lettre, il était question de poursuite au criminel. Qu'en est-il à ce sujet?

À ce que je sache, les seuls articles du Code Criminel concernant les chiens sont les articles 445 et 446 reproduits dans Canards Canins.

Il est important ici de mentionner que toute poursuite au criminel est basée sur une procédure qui doit être suivie. Tout d'abord, la police doit intervenir. C'est en effet aux forces de l'ordre de ramasser les différents éléments de preuve incriminant tel ou tel individu. Cela n'est pas le rôle d'une fourrière comme le Berger Blanc. Ceux-ci peuvent signaler aux autorités compétentes ce qu'ils jugent être une infraction; mais c'est aux autorités policières d'entamer les procédures.

N'oublions pas que la présomption d'innocence prévaut dans toute action au criminel. N'oublions pas non plus que dans tout procès les employés du Berger Blanc auraient à comparaître, un fait que ne devrait guère encourager cette compagnie dont l'objectif est de faire un profit. N'oublions pas non plus que la Couronne devrait faire la preuve que la personne qui est l'auteur de la lettre est toujours propriétaire du chien en question étant donné que c'est là le principal point de litige.

Or il est très clair selon cette lettre que le chien ne lui appartient plus et qu'il y a une personne prête à témoigner que cela est bien le cas. Je crois que, dans les circonstances, aucun agent de police serait prêt à poursuivre l'étude d'un pareil cas. Et je crois également que les gens du Berger Blanc sont arrivés à la même conclusion puisqu'ils ont cessé d'appeler la personne qu'ils accusaient et que la police n'est pas intervenue suite à un appel de leur part.

Espérons que mon optimisme soit justifié; il y a quelquefois des gens prêts à tout pour embêter les honnêtes gens.

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Éditorial du 16 septembre 2003

La lettre reçue hier qui forme somme toute l'éditorial d'hier pose un grand nombre de questions. De ce nombre de questions:

Voilà beaucoup de pain sur la planche. Je vais débuter aujourd'hui par un examen de la première question.

La licence d'un chien est la permission accordée par une municipalité à l'individu qui en fait la demande (et à cet individu seulement) de posséder un chien spécifique sur le territoire de celle-ci. Elle n'est absolument pas transférable. Elle est requise que le chien quitte la propriété où il vit ou non. La preuve que le propriétaire d'un chien donné a obtenu une licence pour celui-ci est la plaque matriculée que le chien doit porter en tout temps.

Cette plaque ne sert pas seulement de preuve de l'obtention de licence pour ce chien donné; elle sert également à identifier le chien et son propriétaire. Cette identification devient importante lorsque le chien cause dommages ou blessures d'une part, ou fugue d'autre part. Il va sans dire que les autorités compétentes vont faire l'hypothèse que le chien ainsi médaillé appartient de fait à l'individu qui l'a affirmé lors de la demande de la licence.

Comme elle n'est pas transférable, elle devient caduque aussitôt que le propriétaire du chien le vend, le donne ou l'échange. Mais comme cette vente, donation ou échange n'est pas rapportée aux autorités compétentes, celles-ci vont continuer à considérer que le chien est la propriété du demandeur de la licence en question.

Évidemment le nouveau propriétaire du chien a maintenant l'obligation de demander une licence pour le chien qu'il vient d'acquérir. Mais l'ancien propriétaire est rarement dans une situation où il peut s'assurer que cela soit fait, surtout que rien n'empêche le nouveau propriétaire de se procurer une licence dans une autre municipalité.

L'incident rapporté dans la lettre d'hier montre qu'il est important - quoique non requis - d'enlever la plaque maintenant caduque du collier de l'animal avant de le transférer à son nouveau propriétaire. Il montre également qu'il est fort utile de faire un contrat écrit de vente, cession ou échange, contrat où l'on trouve le nom et les coordonnées des parties du contrat, sa date et où les deux parties ont signées sous la présence de témoins qui y ont apposé leur signature. Mieux vaut prévenir que guérir.

Il est tout-à-fait évident que l'incident rapporté hier n'aurait pas eu lieu si le chien n'avait pas porté la plaque de 2001 référant à son propriétaire d'alors.

Ceci dit, ce qui précède ne donne pas du tout raison au Berger Blanc. Tout au contraire. La licence portée par le chien devient caduque à son expiration, c'est-à-dire dès 2002. Nous sommes en septembre 2003, soit 21 mois après son expiration. Les explications données par l'auteur de la lettre et le témoignage de l'éleveur auraient dû suffire. D'autant plus que ce n'est pas aux employés du Berger Blanc d'agir en policiers. Ceci dépasse très largement leur mandat. Il est déjà très douteux que le Berger Blanc sait agir correctement avec les animaux à quatre pattes; il est induscutable qu'à maintes reprises le Berger Blanc a démontré une incapacité totale d'agir correctement avec les animaux à deux pattes, les seuls qui peuvent se plaindre!

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Éditorial du 16 septembre 2003

Voici une lettre que je viens de recevoir qui en dit beaucoup sur la mauvaise foi de certains individus qui travaillent au Berger Blanc:

Je sais que je n'habite pas la ville de Montréal mais j'aurais une information très importante à vous demander concernant le Berger blanc:

Il y a 3 ans, j'avais un schnauzer géant âgé de 6 mois qui me causait des problèmes. Je l'ai donné à un éleveur de chien près de chez moi, qui m'en a donné un autre tout petit (miniature) en échange. J'habite à Lachenaie sur la Rive-Nord de Montréal et nous sommes déservis par le Berger blanc.

Ce matin (dimanche, le 14 septembre) , presque 3 ans plus tard, je me suis fait réveillé par un type qui travaille au berger blanc qui m'a demandé si j'avais perdu mon chien... Je lui ai dit non et il m'a dit que le Berger Blanc avait retrouvé mon ancien chien, un schnauzer géant noir, à Mascouche et que je devais aller le chercher. Je lui ai dit que ce chien ne m'appartenait pas et il m'a dit ok merci et nous avons raccrochés.

À l'heure du dîner, un impertinent m'a appelé sans s'annoncer et il m'a lancé au visage qu'ils s'en allaient chercher mon chien, me chargeaient les frais de pension, de transport et qu'ils me pousuiveraient en cour au criminel pour abandon de chien... Ils ont fait pêté ma coche...

J'ai eu beau leur dire que ce chien n'était pas à moi et leur donner les renseignements sur l'éleveur à qui je l'avais donné, mais ils ont continué d'être arrogants et menaçants à mon égard... J'ai raccroché avec eux et j'ai contacté l'éleveur en question, et il m'a dit que oui il se souvenait de notre échange de chien, qu'il avait vendu Newton (le géant) à une dame de Chambly et qu'il n'avait jamais eu de nouvelles par la suite. L'Éleveur a même appelé au berger blanc pour leur dire qu'il allait aller le chercher et ils ont refusés!

J'ai appelé la police et le sergent a ri en me disant que la licence datait de 2001 et qu'ils ne pouvaient rien faire de plus que de venir voir si Newton était ici (ce qui n'est évidemment pas le cas). Bref, je veux savoir qui a raison dans cette histoire? À part avoir fait l'erreur de ne pas lui enlever sa stupide médaille de plastique, je suis innocente dans tout ça!!! Je voudrais aller à la télé ou dans les journaux mentionner comment les employés du Berger Blanc peuvent être ignobles et accusateurs...

J'espère que vous pourrez m'aider...

Merci beaucoup
Isabel Corbeil

Voici un cas que je vais devoir analyser en détail au point de vue légal afin de voir exactement ce qu'il en est. Malheureusement, cela risque de prendre quelque temps.

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Éditorial du 28 avril 2003

Voici un message que je viens de r ecevoir qui devrait intéresser tous les promeneurs de chiens de Montréal:

Mon nom est Katherine Bonnot. Je travaille présentement sur un projet qui vise à améliorer le bien-être de nos chiens et les services qui leur sont offerts. Dans le cadre de ce projet, je fais une étude sur les habitudes de vie des chiens et de leurs propriétaires au Québec.

Je fais appel à vous car en tant qu'association de propriétaires de chiens, vous pouvez m'aider en invitant vos membres à participer à cette étude en répondant à un questionnaire via internet .

Vos réponses seront utilisées seulement dans le but d'élaborer un profil plus réaliste de la condition de vie de nos chiens. Pour ce, j'apprécierais que vos réponses soient les plus fidèles afin que les données recueillies représentent de près la réalité des chiens au Québec.

Soyez assuré que toutes les informations recueillies resteront confidentielles et ne seront en aucun cas divulguées. Elles seront utilisées uniquement pour le développement d'un projet s'adressant à vos chiens.

N'hésitez pas à transmettre ce message à vos parents, amis, collègues et voisins ! Merci beaucoup de votre participation !

Katherine Bonnot

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Éditorial du 19 mars 2003

J'ai reçu aujourd'hui une lettre de la présidente de l'Association Canine du Parc Jarry dont je reproduis ici l'essentiel:

J'espère que vous profitez des belles journées que nous venons de passer. Ça sent le printemps...Les rayons du Soleil nous enveloppent de sa Joie !

Marie ( ma coéquipière) et moi désirons vous rencontrer à votre Parc. Pour se saluer et vous remercier en personne de votre gentillesse d'héberger notre site.

Il est probable que cela soit sous peu, durant le week-end et avant que les terrains ne soient boueux.

Écrivez-moi ce que vous en pensez. Et nous verrons à cela !

À part cela tout va bien, l'enclos ne bougera pas. Il y a plein de nouveaux chiots, de futurs membres potentiels. Je vais prendre pour modèle votre façon de recueillir le nom des gens-visiteurs occasionnels qui fréquentent l'enclos du Parc même s'ils ne veulent pas être membres. Cela donne de la force pour faire respecter nos droits.

Çi-joint une missive d'une de nos commanditaires (15%) qui serait bienvenue dans les nouveautés de notre site. Vous irez voir son site, c'est très intéressant.

Ps .Vous pouvez publier cette missive; comme cela les gens seront mieux informés... Nous préparons la prochaine réunion annuelle qui aura lieu à l'enclos même avec hauts-parleurs portatifs si on en trouve...Ou un porte-voix !

Voici la messive de Chantale de Kilookas:

Vous devez avoir hâte que le printemps arrive pour reprendre les activitiés dans le parc à chiens. Moi ça va bien; je travail fort à organiser des cours et ateliers pour des gens comme vous qui aiment leurs chiens. De plus, mes produits seront bientôt disponibles dans les boutiques!

Je voulais vous dire aussi que mon adresse courriel a changé tout comme mon adresse web . Mon numéro de téléphone demeure le 514-830-2387.

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Éditorial du 21 février 2003

J'ai le grand plaisir d'annoncer que l'Association Canine du Parc Jarry est maintenant une association canine résidante de Canards Canins. Son site est magnifique, intéressant et différent des autres sites qui résident ici. J'espère que les utilisateurs de l'enclos Jarry trouveront leur site est en bonne compagnie. L'union fait la force.

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Éditorial du 15 février 2003

Voici un message que j'ai reçu hier et qui pourrait intéresser certains d'entre vous:

J'ai visité votre site et ai été bien impressionnée par la qualité de votre centre. Je m'appelle Alexandra Pastena et je travaille pour une agence de publicité de Montréal. J'ai la responsabilité du compte de Wal-Mart Québec et je cherche présentement « du vrai monde » qui adorent les chiens, qui font des promenades dans leurs temps libres et qui magasinent au rayon d'animalerie chez Wal-Mart.

Peut-être seriez-vous intéressé à participer à une publicité de Wal-Mart où, alors, connaissez-vous des passionnés des chiens qui aimeraient tenter l'expérience? N'hésitez surtout pas à communiquer avec moi pour en savoir davantage. Les avantages sont nombreux et c'est une expérience très enrichissante.

Je vous serais reconnaissante de transmettre également ce message aux gens que vous jugerez intéressés. J'imagine que vous avez des questions ( ce n'est pas tous les jours que des publicitaires frappent à la porte! ). J'y répondrai avec plaisir soit par courriel ou par téléphone au ( 514 ) 274-8967 ( je prends les frais de téléphones ).

Je vous remercie du temps que vous accordez à ma demande.

Bien à vous,
Alexandra Pastena
( 514 ) 274-8967

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Éditorial du 7 février 2003

L'information à propos du produit Bag Balm se trouve maintenant dans la section D. Ses soins à l'extérieur de la maison du cahier Pour le bien-être de votre chien!

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Éditorial du 6 février 2003

Le cahier des éditoriaux est un cahier plutôt difficile à lire lorsqu'il comprend un grand nombre de textes. Aussi faut-il faire un nettoyage. Celui-ci comprend l'élimination d'éditoriaux qui ne sont plus d'actualité et la réorganisation des textes qui sont utiles. Ces derniers vont compléter des cahiers déjà existant ou en forment des nouveaux. J'ai entrepris ce travail et la première étape est maintenant terminée.

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Éditorial du 24 janvier 2003

Mon éditorial du 13 novembre dernier faisait mention de la croisade de monsieur André Damico pour obtenir le droit de promener son chien en laisse dans les parcs de l'arrondissement de LaSalle. Voici de ses nouvelles:

Notre regroupement pour le droit des chiens compte maintenant tout près de 300 signataires. Deux cliniques vétérinaires et une animalerie appuyent notre cause. Nous allons être interviewés par Radio-Canada dans le cadre d'une émision radiophonique qui sera en ondes en février 2003. Nous allons faire du travail de terrain pour continuer notre pétition. De plus, si des propriétaires de chiens désirent participer à l'entrevue de Radio Canada, ceux-ci peuvent me contacter au (514)-366-4620.

Comme vous pouvez le remarquer, obtenir quelque chose d'aussi simple que de promener son chien en laisse dans des parcs n'est pas une mince affaire. Il faut s'armer de patience, et être prêt à lutter longtemps jusqu'au jour où l'on aura gain de cause. J'offre à monsieur Damico et ses supporteurs de réussir à convaincre leurs élus d'ici à l'automne. Plus tôt serait encore mieux, mais il ne faut pas trop rêver! Courage!

Quant à l'émission radiophonique sur les déboires des propriétaires de chiens, j'espère que cela en intéressera plusieurs.

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Éditorial du 16 janvier 2003

Les nouvelles plaques viennent de faire leur apparition depuis deux jours. Elles sont jaunes. Le questionnaire à remplir est plus complet que précédemment. Il faut indiquer la race du chien, son sexe, s'il est stérilisé ou non, s'il est vacciné contre la rage ou non, son nom, sa couleur, son âge en plus du nom du propriétaire et ses coordonnées. Je crois que le nouveau questionnaire est de beaucoup supérieur au précédent.

Ceci s'applique aux neuf arrondissements issus de l'ancienne Ville de Montréal. Aussi faut-il identifier le nom de l'arrondissement. Les deux fourrières sont identifiées au verso du document ainsi que les coordonnées des bureaux des neuf arrondissements concernés.

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Éditorial du 27 décembre 2002

Nos chiens doivent porter de nouvelles plaques à partir du premier janvier dans la plupart des arrondissements de la Ville de Montréal. Montrons que nous sommes des citoyens responsables et assurons-nous de mettre nos chiens en règle le plus tôt possible.

Il reste que nos chiens ne peuvent pas porter leurs nouvelles plaques avant que celles-ci ne soient disponibles! Ce qui n'est pas le cas aux deux endroits que j'ai vérifiés dans l'arrondissement de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve.

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Jacques Beaulieu
révisé le 16 janvier 2004
jacqbeau@canardscanins.ca
http://canardscanins.ca/canins/edit.html