Oreste Mariotti et sa famille en Canada | ||||||||||||||||||||||||||||
L'histoire de Oreste Mariotti, immigrant italien, et sa famille au Canada.Pour leur histoire en Italie, pressez
ICI. L'arrivée de Oreste Mariotti, immigrant italien, ainsi que sa femme et ses deux enfants, à New York.La famille de Oreste Mariotti ne s'embarqua pas ensemble pour venir à Montréal de Carrara, en Italie. Oreste lui-même partit du Havre, en France, pour New York sur un navire français, le La Provence. Il débarqua en Amérique à New York le 12 avril 1913, à l'âge de 37 ans. On peut présumer qu'il était parti aux devants de sa famille afin de trouver emploi et logement avant de les faire le suivre. Son épouse Marianna, âgée de 37 ans, avait avec elle deux enfants, une fille de 11 ans, Maria, et un garçon de 6 ans, Augusto. Ceux-ci partirent de Naples en Italie sur le navire italien Napoli et arrivèrent en Amérique à New York le 3 décembre 1913. Pendant un intervalle de près de 8 mois le père fut seul à Montréal. C'est probablement plus que trouver un emploi et un logement qu'il eut à faire, mais aussi mettre de côté l'argent pour payer les deux traversées.
Le dernier nom qui apparaissent sur cette liste partielle de débarquement du vapeur S.S. La Provence en provenance du Havre et arrivé à New York le 12 avril 1913 est: Les trois noms qui apparaissent sur cette liste partielle de débarquement du vapeur S.S. Napoli en provenance de Naples et arrivé à New York le 3 décembre 1913 sont: La mort de Oreste Mariotti mardi le 23 mai 1916, vers 9:30 heures.Oreste Mariotti trouva la mort dans des circonstances mystérieuses à peu près trois ans après son arrivée à Montréal. Sa mort fut mentionnée dans au moins un journal de l'époque, le journal La Patrie. Celle-ci aurait probablement fait couler beaucoup plus d'encre si ce n'avait été de la grande guerre. On trouvera à la suite des deux articles apparus dans ce journal, puis une carte de la région où l'accident mortel a eu lieu.
UN CRIME OU UN ACCIDENT
Un nommé Mariotte, gardien à la Eastern Machinery, est trouvé mourant près de la voie du C. P. R. et il expire en arrivant à l'hôpital L'ENQUETE, DEMAIN Vers 9:30 heures, hier soir, un nommé H. Mariotti, employé aux Eastern Machinery Works, en qualité de gardien, a été trouvé mourant le long de la voie du Pacifique Canadien, à la traverse de la rue St-Hubert. Transporté d'urgence à l'hôpital Victoria, il expira quelques instants après son arrivée. Il succomba à une fracture du crâne. On crut tout d'abord que le malheureux avait été tamponné par un train, mais l'hypothèse d'un meurtre a été émise ensuite. Si l'on en croit des employés des Eastern Machinery Works, la mort de Mariotti serait le résultat d'un crime. Il aurait été assailli par quelque individu qu'il aurait chassé du terrain de l'usine dont il était le gardien. On prétend que le défunt n'avait pas affaire à se trouver là où il a été découvert inanimé à cette heure de la soirée. C'est le mécanicien d'un train de marchandises qui le premier vit de la cabine de sa locomotive la victime étendue au côté de la voie. Il supposa que l'homme avait été frappé par un train de voyageurs qui avait passé un instant auparavant. Mais d'autres personnes prétendent avoir vu Mariotti après le passage de ce train. La victime demeurait au No 86b de la rue Saint-Timothée. L'enquête du coroner aura lieu demain. La Patrie24 mai 1916 Page3
LA MORT DE MARIOTTI
L'Italien H. Mariotti, le gardien de nuit de la Eastern Machinery, 993 Christophe Colomb n'a pas été assassiné mais il a été tué par un train du Pacifique. Telle est en substance la conclusion de l'enquête du coroner McMahon, ce matin sur la mort du gardien Mariotti, 86 St-Timothée. Ce dernier avait été trouvé sans connaissance, le long de la voie du Pacifique, le crâne facturé. Quelques minutes après qu'on l'eût découvert et qu'on l'eût transporté dans une maison voisine, il rendait le dernier soupir. On croyait tout d'abord à un accident,mais des amis étaient sous l'impression que Mariotti avait été assassiné et transporté près de la voie du Pacifique pour faire croire à un accident et le coroner McMahon ordonna une enquête. Les médecins légistes ont déclaré ce matin que le défunt avait bel et bien été frappé par un train et qu'il avait eu le crâne fracturé au cours de cet accident. La Patrie25 mai 1916 Page3
La carte placée plus haut indique les bâtiments existants et les rues dans les environs de la compagnie Eastern Machinery, sise au 993 Christophe Colomb, (les terrains commerciaux sont en jaune et les résidences sont en rose), les voies du C. P. R. ainsi que la traverse de la rue Saint Hubert. La rue Saint Hubert est à la gauche; suivent une ruelle, la rue Saint André et la rue Boyer, une autre ruelle puis l'avenue Christophe Colomb, un autre ruelle, et la rue De la Roche. On a la rue Carrière en diagonale. Le gardien de nuit Oreste Mariotti a été trouvé le long de la voie ferrée près de la traverse de la rue Saint Hubert alors que la compagnie pour laquelle il était gardien de nuit était sise aux environs de l'intersection de Carrière et Christophe Colomb. Évidemment, si le train qui l'avait frappé allait de l'est vers l'ouest, il se pourrait qu'il ait été projeté sur une certaine distance vers la rue Saint Hubert. Il reste que celui-ci n'était plus sur le terrain de la compagnie. Il n'est donc guère surprenant que celle-ci n'a pas voulu compenser sa veuve. Aussi le scénario de ses amis était-il nécessaire: fatalement blessé par un inconnu, il aurait été traîné des environs de la compagnie sur la voie ferrée jusqu'à la traverse en question. Cela ne m'apparaît guère plausible. Il me semble qu'il faudrait un scénario assez différent pour suggérer un meurtre. Mais pourquoi le gardien de nuit est appelé "H. Mariotti"? Ne devrions-nous pas trouver "O. Mariotti" (pour "Oreste")? Cela présume que le journaliste connaisse l'orthographe correct de "Oreste", un prénom très rare à Montréal. Il se pourrait que celui-ci ait pensé que ce soit "Horeste" comme on a "Hormisdas" et "Horace", deux prénoms mieux connus. Soit dit en passant, les chemins de fer n'étaient pas clôturés à cette époque et il n'y avait rien pour annoncer l'arrivée d'un train, même à la traverse. C'était aux gens de se protéger le mieux possible. La compagnie de chemin de fer n'était pas responsable des accidents sur sa voie ferrée, mêmes aux traverses. La vitesse d'un train de passagers était plus grande que celle d'un train de marchandises, même dans les régions habitées. Et la région en question ne l'était guère. Les terrains vagues prédominaient. Les lumières extérieures devaient être rares, et vers 9:30 heures du soir, il devait faire plutôt noir. Le phare d'une locomotive éclairait à une certaine distance devant, pas juste devant, et de toutes façons un train ne s'arrête pas sur une courte distance, à moins de circuler à faible vitesse. Un scénario possible serait le suivant: Évidemment, ceci implique que le train de passagers roulait vers l'ouest et que l'accident ait eu lieu plus près de la rue Christophe Colomb. Ce scénario nous permet aussi de présumer que tout cela était un piège, que l'individu avait choisi son temps pour entraîner le gardien à sa mort, comme le train passait tous les jours à la même heure. Encore lui fallait-il avoir trouvé un motif qui forcerait notre gardien à vouloir l'attraper coûte que coûte. Aussi cette dernière hypothèse est-elle peu plausible. Baptême et sépulture de sa fille Henrietta Mariotti à Montréal
Oreste Mariotti et son épouse ne se retrouvèrent qu'en décembre 1913 après un intervalle de 8 mois. Leur réunion ainsi qu'une certaine aisance leur permit d'avoir un bébé. Une fille naquit le 19 juillet 1915: Enrichetta Rachele Angelina Mariotti. Malheureusement, Oreste mourut le 23 mai 1916, privant sa famille de son soutien matériel. Sa femme et ses enfants, sans support, dépérirent et la petite fille mourut le 27 mai 1917, un peu plus d'un an après la mort de son père. L'enfant ne fut pas inhumée avec son père mais avec d'autres enfants encore plus jeunes, montrant que sa famille n'avait pas les moyens de l'inhumer avec lui.
Le 25 juillet mil neuf cent 15 Nous, prêtre soussigné,avons baptisé Enrichetta, Rachele, Angelina Mariotti née le 19 juillet, fille légititime de Oreste Mariotti qui signé et de Marianna Martini de cette paroisse Le parrain a été Angelo Moalli de qui a signé et la marraine Rachele Roncari de qui a signé Lecture faite
Le trente Mai mil neuf cent dix sept nous Prêtre soussigné avons inhumé dans le cimetière de cette paroisse le corps de Henrietta, fille de feu Oreste Mariotti gardien et de Maria Anna Martini décédée le vingt sept du mois courant âgée de un an dix mois --- jours, de la paroisse de Notre Dame du Mont Carmel Mariage de sa fille Maria Mariotti à Adolfo Cenerelli, immigrant italienLe 5 avril 1920, en l'église Notre Dame de la Défense de Montréal, Adolfo Cenerelli, immigrant au Canada, épousait Maria Mariotti, fille de Oreste Mariotti alors décédé et de Marianna Martini qui, elle aussi, avait immigré au Canada, comme en fait foi l'acte de mariage digitalisé puis transcrit plus bas: J'ai fait les trois publications requises, et j'ai eu le consentement de la mère de la partie mineure. Le mariage a eu lieu en presence de Mr. Corrado Bertolucci, témoin de l'époux, et de Mr. Ezio Battaglia, témoin de l'épouse.
Lecture faite.
Selon cet acte, Adolfo Cenerelli était le fils de Francesco Cenerelli et de Luigia Biagiotti, né à Montemaggiore, dans la province de Pesaro, en Italie, le 21 mars 1897. Ceci est confirmé par copie légale de son acte de naissance et de l'acte de mariage de ses parents. (Pour accéder à ces copies, presser ICI.) L'acte du mariage de Adolfo Cenerelli et Maria Martini indique de plus que cette dernière était la fille de feu Oreste Mariotti et de Marianna Martini, née à née à Carrara, province de Massa Carrara en Italie le 30 juillet 1902, comme nous avons déjà vu. La mariée étant mineure sa mère, présente au mariage, dut donner sa permission. Recensement de l'épouse de Oreste Mariotti, de son fils, sa fille et son gendre en 1921
L'année suivante eut lieu le sixième recensement canadien. On trouve deux "familles" à l'adresse 763a Mentana dans le quartier Saint Denis de la ville de Montréal. Elles se trouvent toutes deux digitalisées plus bas; la feuille du recensement a été découpée en partie de gauche et partie de droite; cette dernière a été accolée aux premières colonnes de gauche afin de voir à qui les informations s'appliquent.
La "famille" qui nous intéresse débute sur la ligne 4 de la page 22. Leur loyer est de 23$ par mois. On y trouve les personnes suivantes: L'imbroglio: Oreste ou Primo Mariotti?L'annuaire Lovell de Montréal nous donne un peu d'informations concernant l'épouse de Oreste Mariotti. Elle apparait pour la première fois dans l'annuaire de 1918 et y demeure jusqu'en 1923. On y lit:
Il est important de noter ici que celle-ci se nomme de la même façon qu'elle est nommée au recensement, sauf que "Mart" n'est que l'abbréviation du "Martini"; on remarque de plus que le prénom de son mari débute par P et donc n'est pas indiqué comme "Oreste" dans l'acte de mariage trouvé plus haut. Oreste Mariotti n'apparait qu'une seule fois dans le Lovell, pour l'édition de 1914-5: Oreste Mariotti est inhumé dans la concession GA 00708 du cimetière Notre Dame des Neiges mais encore sous le nom de Primo Mariotti. De plus, la date indiquée sur le site du cimetière est fausse: le 8 novembre 1926 est erroné. L'acte d'inhumation de son épouse l'appele également Primo Mariotti. Dans l'extrait de baptême de Maria Mariotti, le père est nommé Primo Oreste Mariotti. (Pour accéder à cet extrait de baptême, presser ICI.) Je présume que Primo était plus facile pour les canadiens français ou anglais que Oreste, et donc fut utilisé dans le Lovell et au Cimetière.
Décès et sépulture de son épouse Marianna Martini au cimetière de Notre Dame des Neiges
Mariana Martini mourut le 21 octobre 1926 et fut inhumée le surlendemain au cimetière Notre Dame des Neiges (dans la concession GA 00708 qu'elle avait loué pour y inhumer son mari) comme le dit l'acte qui suit. On y remarque qu'elle y est dite veuve de Primo Mariotti. Le prénom de son mari débute par la lettre "P" comme dans le Lovell. Le décès était également annoncé à la page 15 du journal La Patrie, édition du vendredi 22 octobre 1926 où il est clairement indiqué que la défunte vivait chez sa fille et donc avec son gendre au 298 rue St-Zotique: MARIOTTI - A Montréal, le 21 octobre 1926, à l'âge de 50 ans, est décédée Mme Veuve Maria-Anna Mariotti, née Marie-Anna Martini.Les funérailles auront lieu samedi, le 23 courant. Le convoi funèbre partira de la demeure de sa fille, No 298 rue St-Zotique à 6 hrs 45 pour se rendre à l'église Notre-Dame-de-la-Défense, où le service sera célébré à 7 hrs, et de là au cimetière de la Côte-des-Neiges, lieu de la sépulture. Parents et amis sont priés d'y assister sans autre invitation. La PatrieVendredi le 22 octobre 1926 Page 15. L'arrivée de Adolfo Cenerelli, immigrant italien célibataire, à New York.C'est le le 1er mai 1913 que Adolfo Cenerelli, âgé de 16 ans, célibataire, arrivait à New York de Gênes sur le vapeur "Berlin". Son voyage avait comme but Montréal. En Italie, il avait été ouvrier agricole et il espérait trouver à Montréal un pareil métier. Il venait à Montréal dans le but d'y rester. Il savait lire et écrire. Il venait de Montemaggiore. Tout ceci selon la découpure de la liste qui suit des immigrants de ce navire. Liste partielle des passagers du vapeur Berlin arrivé le 1er mai 1913 à New York de Gênes, en ItalieUn certificat de naissance pour Adolfo ainsi qu'un certificat de mariage pour ses parents est trouvé ICI. On lit dans le certificat de naissance que Alfonso Cenerelli est le fils de Francesco Cenerelli et de Ludgia Biagiotti et qu'il est né dans la commune de Montemaggiore al Metauro le 21 mars 1897. On lit dans le certificat de mariage qui suit que le 20 novembre 1879, dans la commune de Montemaggiore al Metauro, Francesco Cenarelli, 31 ans, né et résident dans la commune de Montemaggiore al Metauro, fils de feu Sabatino Cenarelli et de feue Maria Bini, épousa civilement Luigia Biagiotti, 23 ans, née dans la commune de Montefelcino et résidente dans la commune de Montemaggiore al Metauro, fille de Fabbrizio Biagiotti et de Asuntina Conti.
Retour de la famille de Maria Mariotti sur le Conte Rosso en provenance d'Italie arrivé à New York le 16 août 1927.Maria Mariotti décida après la mort de sa mère Marianna Martini d'aller visiter sa famille restée en Italie. Elle avait habité Carrara en Italie jusqu'à l'âge de 11 ans. Elle avait alors deux filles, respectivement de 4 et 2 ans et elle-même était âgée de 25 ans. Sur les entrefaites, sa grand-mère maternelle Carolina Grassi était décédée en août 1917. (Pour accéder à cet acte, presser ICI.) Par contre, sa tante maternelle Maria Martini qui avait épousé Emilio Menchelli vivait encore. C'était leur fils Giovanni Menchelli (et donc son cousin) qui avait vu à l'acte de décès de leur grand-mère maternelle. (Pour accéder à l'acte de naissance de ce cousin, presser ICI.) De plus, il est fort probable que le prénom de Maria lui ait été donné en honneur de cette tante. Elle revint en Amérique par le port de New York le 16 août 1927 avec ses deux enfants sur le vapeur "Conte Rosso", parti de Gênes le 5 août et de Naples le lendemain. Elle revenait de chez sa tante Maria Menchelli qui habitait la province italienne de Massa Carrara. Son mari l'attendait à Montréal selon la découpure de la liste qui suit des voyageurs à bord de ce navire. Cette liste, divisée en partie de gauche et de droite, se trouve digitalisée plus bas; la liste a été découpée en partie de gauche et partie de droite; cette dernière a été accolée aux premières colonnes de gauche afin de voir à qui les informations s'appliquent. Liste partielle des passagers du vapeur Conte Rosso arrivé le 16 août 1927 à New York de Gênes et Naples, en Italie (partie de gauche)
Les enfants de Maria Mariotti et de Adolfo Cenerelli, petits enfants de Oreste MariottiMaria Mariotti et Adolfo Cenerelli se marièrent le 5 avril 1920. Ce couple a eu quatre enfants:
Maria Mariotti fut inhumée dans la concession GA 00708 du Cimetière Notre Dame des Neiges le 2 octobre 1973; son époux Adolfo Cennerelli l'y suivit le 2 novembre 1978. Les Cenerelli dans le Lovell entre 1921 et 1978Cette information est groupée selon le nom du père Adolphe Cenerelli, de sa fille Ede Cenerelli, de son fils Robert Cenerelli et de son fils Jean Cenerelli. De tout cela, il semble acquis que Adolphe Cenerelli a été garçon de table presque toute sa vie. Il a été propriétaire d'un magasin de Musique sur la rue Saint Hubert entre 1927 et 1931 environ. Il a déménagé sa famille à Rawdon où il s'est fait fermier entre 1932 et 1937 environ, puis est revenu à Montréal où il est resté le reste de sa vie, travaillant à l'Hôtel Mont-Royal comme garçon de table. Sa fille Ede Cenerelli travailla comme employée au Dominion Textile en 1948-9. Elle disparait du Lovell pour revenir comme sténographe entre 1952 et 1954. Durant ce temps, elle vit chez ses parents. Comme elle disparait du Lovell en 1954, il est très possible que ce soit le moment où elle maria Silvestro Capalletti. Son fils Roberto Cenerelli apparait pour la première fois dans le Lovell pour l'année 1957-8: il habite au 10202 Laverdure et est superviseur pour la Compagnie CIL. Il est certainement marié alors. Il ne réapparait dans le Lovell que pour l'année 1977-8 et réside alors au 12189 avenue Bouillet. Son fils Jean Cenerelli apparait pour la première fois dans le Lovell en 1959. Il est alors étudiant et vit chez ses parents. L'année suivante, en 1960, il est devenu employé chez Am Can. Il disparait du Lovell pour revenir en 1963 comme forman pour la même compagnie. En 1965, il devient superviseur. Durant tout ce temps, il vit chez ses parents. Il disparait alors du Lovell jusqu'en 1974. Il a alors une épouse et est gérant de l'usine de cette même compagnie. Il habite alors au 1769 rue Canora à Ville Mont-Royal. Il y vivait encore en 1978.
Le premier octobre Mil neuf cent 22 Nous, soussigné, avons baptisé Lilia Luisa Marianna Cenerelli née le dix huit septembre fille légitime de Adolfo Cenerelli qui a signé, et de Maria Mariotti de cette paroisse. Le parrain a été Mario Lemmetti qui a signé et la maraine Marianna Mariotti qui a signé. Lecture faite.
Le deux août Mil neuf cent 25 Nous, soussigné, avons baptisé Ede Erminia Maria Cenerelli née le vingt et un juillet fille légitime de Adolfo Cenerelli qui a signé, et de Maria Mariotti de cette paroisse. Le parrain a été Umberto Connestri qui a signé et la maraine Mme Erminia Petrucci qui a signé. Lecture faite.
Le seize septembre mil neuf cent trente quatre, nous prêtre vicaire avons baptisé Robert Joseph Antonio né le neuf courant, fils légitime de Adolphe Cenerelli cultivateur et de Maria Mariotti de cette paroisse. Le parrain Antonio Carra épocier et la marraine Maria Sasso, son épouse de la paroisse Notre Dame de la défense, Montréal lesquels, ainsi que le père, ont signé avec nous. Lecture faite.
Nombre de défunts: 6 * Cette date est erronnée. Nous remarquons que ces informations sont compatibles avec les faits suivants Robert CENERELLICENERELLI, Robert Surrounded by the love of his family, Robert passed away on Sunday, December 10, 2017, at St. Peter's Hospital at the age of 83. Beloved husband of Nancy for 61 years. Cherished father of Claudia (Anthony). Proud grandfather of Melissa, Giovanni, Matteo and Massimo. Dear brother of John (Denyse), and brother-in-law of Lionel (Yolande) and Aldo (Luce). Predeceased by his parents (Adolfo and Maria), sister Lilia, sister Ede (Silvio) and sister-in-law Lidia. Robert will be deeply missed by his nieces, nephews, extended family and friends across the country. Robert spent most of his working life at CIL and moved around Quebec and Ontario many times. He was an avid gardener, and was active until a few months before his passing. Visitation will be held at DODSWORTH AND BROWN FUNERAL HOME, 378 Wilson Street East, Ancaster (905-648-3852) on Saturday, December 16 from 11:00 a.m. - 2:00 p.m. Funeral service will follow at the funeral home chapel at 2:00 p.m. Donations in memory of Robert can be made to the Juravinski Hospital or St. Peter's Hospital. Newspaper(s): Hamilton SpectatorLocation: Hamilton |